Un examen plus approfondi de l’hypothèse de la Bradykinine
Cet article de Thomas Smith a été initialement publié le 1er septembre 2020 en anglais dans Elemental.
Written by
Thomas Smith
Co-Founder & CEO of Gado Images.
I write, speak and consult about AI,
privacy, photography, tech and the Bay Area.
Send any inquiries to tom@gadoimages.com.
Plus tôt cet été, le supercalculateur Summit du Oak Ridge National Lab dans le Tennessee (USA) a commencé à analyser des données sur plus de 40 000 gènes provenant de 17 000 échantillons génétiques dans le but de mieux comprendre la Covid-19. Summit est le deuxième ordinateur le plus rapide au monde, mais le processus – qui impliquait l’analyse de 2,5 milliards de combinaisons génétiques – a néanmois pris plus d’une semaine.
Une fois que Summit eut terminé, les chercheurs ont analysé les résultats. C’était, pour reprendre les mots du Dr Daniel Jacobson, chercheur principal et scientifique en chef pour la biologie des systèmes informatiques à Oak Ridge, un «moment eureka». L’ordinateur avait révélé une nouvelle théorie sur l’impact de la Covid-19 sur le corps : l’hypothèse de la bradykinine. L’hypothèse fournit un modèle qui explique de nombreux aspects de la Covid-19, y compris certains de ses symptômes les plus bizarres. Il suggère également plus de 10 traitements potentiels, dont beaucoup sont déjà approuvés par la FDA. Le groupe de Jacobson a publié ses résultats dans un article de la revue eLife début juillet.
Read more